Présentation de Gwenaëlle
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Présentation de Gwenaëlle
Nom : Sylfan de Bruissebois
Prénom : Gwenaëlle
Age : dix sept ans
Histoire de Gwenaëlle Sylfaen de Bruissebois
Comment peut on naître riche héritière d'une famille noble de province, devenir saltimbanque puis vampire pour ensuite finir brigand ? Certaines personnes ont une vie tout ce qu'il y a de plus ordinaires, héritent d'un lopin de terre qu'ils cultivent le long de leur existence entouré d'une épouse et d'une ribambelle d'enfants avant de mourir tranquillement une fois leur heure venue dans un lit. D'autre... D'autre ont une vie bien plus agitée ou remplie c'est selon les points de vue, marquée par les vicissitudes du destin. Telle fut la vie de Gwenaëlle.
Chapitre un : La vie de château
Gwenaëlle Sylfaen de Bruissebois de son vrai nom est née dans une famille appartenant à la noblesse de province d'un lignage assez élevé parmi l'aristocratie mais aujourd'hui un peu déclinante hélas. Son enfance fut dans l'ensemble plutôt heureuse. Lorsqu'elle atteignit les dix ans, elle commença à recevoir une éducation digne de son rang. Ainsi elle apprit de nombreuses choses comme quelques vagues notions d'escrime, l'équitation, et d'autre, beaucoup moins passionnantes comme les convenances, comment se conduire en public ( public étant ici à comprendre ici comme un élégant salon rempli de vieux aristocrates guettant le moindre battement de cil de travers ) et les différends degrés de noblesse, ou comme elle l'appelait plus simplement, le pédigré.
Gwenaëlle ne se plaignait pas de sa situation. Elle avait pour elle le confort matériel. Cependant, elle devait bien avouer qu'elle ne se sentait pas faite pour cette vie. Ce monde lui semblait trop artificiel, trop futile. Plus les années passaient, plus elle s'en lassait. Quand le soir tombait, elle rêvait, assise près de sa fenêtre. Elle rêvait d'horizons lointains, d'aventure et d'amitié. Elle s'imaginait assise autour d'un feu de camp riant avec des compagnons, se racontant des histoires sous la Lune. Elle marchait à présent sur ses seize ans, et son père songeait à la marier, profitant de cette occasion pour redorer par une alliance le blason un peu usé de sa vieille famille. Mais Gwenaëlle n'avait aucune envie d'épouser un petit nobliau rondouillard enlaidi par des mariages incestueux. Aussi elle désespérait de trouver un moyen d'échapper à cette union.
Le moyen lui fut offert alors qu'elle rentrait d'une visite chez l'un de ses prétendants. La calèche avançait secouée par les cailloux de la route. Elle était accompagnée de trois servantes et de sa gouvernante, une vieille femme avec des traits chevalins et un manche à balai dans le...
Tandis qu'ils traversaient la forêt, l'attelage se stoppa brusquement puis il y eu un bruit sourd. Par la fenêtre Gwenaëlle vit le cocher tomber au sol le ventre percé d'une flèche. Sortirent alors des arbres cinq brigands vêtus de vert et de noir, portant des arcs et des épées. Ils s'avancèrent, ouvrirent la porte, firent sortir gouvernante et servantes, et sans plus de cérémonie les égorgèrent. Celui qui semblait être le chef aperçu alors Gwenaëlle terrée au fond de la calèche. Il la saisit par le bras et sans ménagement le fit sortir à son tour. Puis s'arrêtant, l'examina sous toutes les coutures.
_ "On la tue aussi chef ?" fit l'un des acolyte.
_ "Non" répondit celui ci "Ses parents me donneront peut être une rançon. Et au pire elle est jolie comme tout, elle fera une bonne esclave. Amène moi une corde et un tissu".
Gwenaëlle frissonna en entendant ces mots. Mais au moins, il n'avait pas l'intention de la tuer. Prenant une corde, le chef entreprit de la ligoter, lui attachant les mains dans le dos puis les cuisses et le pieds jusqu'à ce qu'elle soit aussi ficelée qu'un saucisson campagnard. Puis prenant un foulard la bâillonna avant de la jeter comme un sac de patates sur un cheval et le groupe se remit en marche s'enfonçant dans la forêt. Après quelques minutes de marches ils arrivèrent dans une clairière et se stoppèrent. Gwenaëlle releva la tête pour voir ce qui avait causé cet arrêt soudain. Au centre d'une clairière se trouvait un jeune homme. Assis sur un rocher il lisait tranquillement. A côté de lui se trouvaient ses affaires lesquelles comprenaient une besace brune, un luth et un bâton de bois. Les voyant arriver il releva la tête et le regarda. Il avait des yeux d'un bleu très clair, presque gris et un beau visage, jeune et régulier encadré par des cheveux bruns. La réaction des bandits ne se fit pas attendre.
_ "Hé toi !" tonna le chef "Laisse toute tes affaires ici et fiche le camp si tu tiens à la vie !"
_ "Vraiment ?" répondit l'autre avec un sourire énigmatique "Venez donc les chercher dans ce cas".
Gwenaëlle avait déjà eu sa dose de morts pour la journée et elle n'avait aucune envie d'en voir de nouveaux. Le jeune homme était seul avec pour seule arme un simple bâton face à quatre brigands portant des épées. Elle voulu lui crier de s'enfuir mais elle ne pu que pousser un faible gémissement sous son bâillon. Le premier maraudeur fonça sur le jeune homme mais celui ci ne se laissa pas décontenancer, et saisissant son bâton comme une épée lui assena un redoutable coup à la tête. Le bandit s'effondra. Les quatre autres restèrent un instant bouche-bée devant l'inconnu qui leur souriait et le corps de leur comparse gisant à terre puis...
_ "Choppez le !" hurla le chef se ruant avec les autres sur lui. Gwenaëlle ferma les yeux ne voulant pas voir ça. Il y eut une succession de coups de gémissement et de râles ponctué par le bruit sourd de corps chutant sur le sol puis plus rien. Rouvrant les yeux elle vit alors le jeune homme debout entouré par les vaincus à terre son bâton toujours à la main et sans la moindre égratignure. Il s'avança vers elle en souriant et prenant la bride du cheval l'emmena plus loin dans la forêt. Lorsqu'ils furent suffisamment loin, il la fit descendre doucement de sa monture, lui retira le bâillon puis tirant une dague de sa ceinture coupa les cordes qui l'entravaient.
_ "Merci" souffla elle en massant ses membres endoloris.
_ "Je m'appelle Farell" répondit il, "Eden Farell. Et toi ?"
_ "Euh, Gwenaëlle. Gwenaëlle Sylfaen de Bruissebois".
_ "Eh bien, aucune chance pour que j'arrive à retenir un nom aussi long. Je peux t'appeler Gwen ?"
"Gwen" hocha la tête en signe d'approbation.
_"Bien" reprit il "Je devrais peut être te reconduire jusqu'à ta famille"
_ "Non !"
_"Euh, pardon ?"
_ "Non je ne veux pas retourner là bas" dit elle, "Je vous en pris permettez moi de rester avec vous"
Elle cru qu'il allait refuser, attiré par la récompense que ne manquerait pas de lui offrir un noble si il lui ramenait sa fille saine et sauve mais il se contenta de la fixer de ses yeux pâles. Son regard était si perçant qu'elle avait l'impression qu'il lisait en elle. Finalement il dit :
_"Bon, entendu".
Chapitre deux : Par monts et par vaux
Sa nouvelle vie débuta alors. Farell était un saltimbanque. Il avait une multitude de talents. Il connaissait un très grand nombre d'histoires de contes et légendes, jouait très bien du luth et de la flûte, pouvait exercer une multitude de tour de passe passe et de numéro d'adresse, savait jongler avec balles et torches. De plus il maniait le bâton et la dague avec une efficacité meurtrière, pouvait crocheter les serrures parfois très complexes et soulager habilement un passant de sa bourse. C'était un fin négociateur en plus d'un bon cuisinier et d'un excellent danseur. Enfin pour ne rien gâcher, il était beau garçon. Gwenaëlle passa une année entière avec lui qui restera dans sa mémoire comme l'année la plus heureuse de sa vie. Ils voyagèrent beaucoup et elle découvrit le monde d'Ilmer, les autres races qu'elle n'avait pratiquement jamais cotoyé. Farell entreprit de lui transmettre une partie de son savoir. La chose ne fut d'abord pas aisée. Ayant toujours eu des serviteurs pour faire les choses à sa place, Gwenaëlle était extremement maladroite. Mais en persévérant, elle parvint à jongler à deux, puis trois, puis quatre, puis cinq balles. Elle apprit à manier la dague et effectuer des acrobaties, et faire des tours de prestidigitateur. Enfin elle acquis une chose non négligeable qui n'avait jusqu'alors pas eue la possibilité de s'exprimer : le sens de l'humour. Elle apprit à quitter les manières qu'on lui avait inculqué pour se laisser aller, bercée par le sourire de Farell. En symbole de sa nouvelle vie, elle coupa ses cheveux auburn pour les porter mi longs. Mais déjà cette vie touchait à sa fin.
Chapitre trois : La voie du sang
Depuis plusieurs jours ils marchaient dans les montagnes. Ils devaient franchir un col pour rejoindre une autre ville. La neige recouvrait les monts et vallées. Les villages fait de pierres et de bois étaient devenus de moins en moins nombreux au fur et à mesure qu'ils progressaient sur les sentiers de montagnes entre la neige et les sapins. A présent ils avançaient sur un sentier de montagne bordé de sapins. C'était le crépuscule, Gwenaëlle s'arrêta un instant.
_ "Quelque chose ne vas pas ?" demanda Farell ?
_ "J'ai entendu dire que les montagnes étaient envahies par les fantômes à la tombée de la nuit" répondit elle. Farell eut un sourire amusé.
_ "Ma foi, c'est peut être vrai" dit il "Les montagnes nourirssent l'imagination des gens. Mais si tu veux mon avis c'est surtout le vent du soir qui s'engouffre entre les vallées que les habitants prennent pour des gémissements fantomatiques".
Ils reprirent leurs route. Mais entre les arbres, à l'abri des regards et de la lumière, le prédateur les observait. Tant de jours d'errance, de solitude et de faim. Il ne pouvait résister il allait enfin pouvoir se nourrir. Gwenaëlle continuait de suivre Farell. Elle regarda sur la droite. Un trou dans les arbres et une falaise en plusieurs dénivelés. En bas elle pouvait apercevoir les lueurs du dernier village. Un craquement la fit alors sursauter. En face d'eux un homme vêtu d'un manteau noir en lambeaux se tenait debout sur une branche. Il sauta alors et se receptiona sur le sol malgré la hauteur et fonça sur eux. Farell brandit son bâton et frappa de toute ses forces la tête de son assaillant. Le bâton se brisa sous le choc. Il devait avoir le crâne brisé mais il tomba au sol semblant à peine sonné. Il se releva et avec une force prodigieuse, saisi Farell au col et l'envoya six mètres plus loin. Il se tourna alors vers Gwenaëlle et, crocs dehors lui sauta à la gorge. Elle n'eut que le temps d'esquiver en se déplaçant sur le côté mais les crocs se refermèrent sur son bras. Gwenaëlle hurla de douleur. Les crocs raffermirent leur emprise. Elle tenta de repousser son attaquant mais elle se sentait engourdie. Farell contre attaqua alors. Il sortit sa dague et la planta de toute ses forces dans le dos de l'inconnu. Ce n'est qu'au cinquième coup de dague qu'il relâcha sa morsure. Gwenaëlle tomba au sol. Les sons, les odeurs les sensations tout devint confus. Elle s'effondra submergé par une douleur plus intense que tout ce qu'elle avait pu ressentir jusqu'à présent, une douleur qui n'avait rien à voir avec celle qui lui lacérait le bras. Comme si son sang était devenu du feu et qu'il la consumait de l'intérieur. Ses sens s'atténuaient en même temps qu'elle sentait un mal terrible aux dents. Elle porta la main à sa bouche et sentit alors sous son toucher non plus des canines mais des crocs. Sa vision était flou mais elle vit une forme noire foncer sur elle et se stopper net. Sa vue s'éclaircit et elle vit Farell lui tournant le dos. Il avait ramassé le bâton brisé et enfoncé le pieux dans le coeur de l'ennemi. Celui ci écarquilla les yeux de stupeur, puis lorsque Farell le relâcha recula de quelques pas avant de tomber du haut de la falaise. Farell épuisé tomba alors sur le dos. Gwenaëlle était agenouillée devant lui. Elle sentit alors une soif de sang terrible monter du fond de ses entrailles et le désir de mordre l'homme en face d'elle. Cette pulsion plus forte que tout rencontra une barrière de sentiments contraires. Elle se mit à trembler et finalement, enfonça ses crocs jusqu'au sang dans son bras. Puis elle s'évanouit.
A son réveil c'était le matin. Elle était à moitié couverte de neige, allongée sur le ventre de Farell qui se soulevait doucement au rythme de sa respiration. Les premiers rayons du soleil commençaient à percer à travers les monts. Elle se releva doucement. La lumière qui aurait du la réchauffer l'affaiblissait. Par ailleurs elle ne sentait plus le froid, tout cela était si étrange. Elle ne pouvait supporter plus longtemps la lueur du soleil lorsque Farell se relevant à son tour la couvrit de son manteau avant de l'amener à l'ombre des sapins. Ils restèrent longuement face à face sans oser parler, même Farell d'ordinaire si loquace. Gwenaëlle finit par prendre la parole.
_ "Nous ne pourrons plus voyager ensemble" dit elle. Comme il ne répondait rien, elle poursuivit.
_ "Je crains le soleil désormais. Et surtout, je ne suis pas sûre de pouvoir résister à l'envie de te mordre".
_ "Tu pourrais me mordre justement" répondit Farell "Nous serions semblables". Elle eut un faible sourire.
_ "Il n'y a que les imbéciles pour penser que vampire est une existence enviable. Les choses ont basculées. Tu es le jour, je suis devenu la nuit".
_ "Alors" fit il "C'est notre dernière étreinte".
Gwenaëlle resta dans la montagne à errer. Elle n'aurait su dire pendant combien de temps, sa vision du temps avait changée elle aussi. Des semaines durant elle rôda dans les monts et forêt. Il n'y avait plus que le froid, la neige, la nuit et cette soif, cette soif insatiable de sang. Des semaines à craindre l'aurore et espérer le crépuscule. Des semaines hantées par le souvenir de Farell à qui elle avait tourné le dos. Le soir tombait, toute la journée durant des nuages avaient obscurci le ciel lui permettant de s'approcher suffisamment près d'un village. à l'orée des arbres elle observait une maison éloignée. Un petit garçon jouait non loin de sa porte. Il devait à peine avoir cinq ans. Ce serait si facile. Il n'aurait à peine le temps de crier que déjà ils seraient loin. Sa faim la tenaillait, un tremblement la secoua. Après plusieurs seconde d'hésitation elle se ravisa. Prendre la vie d'un enfant était au dessus de ses forces. Elle retourna dans la montagne. Gwenaëlle vécu plusieurs mois dans les monts enneigés, se nourrissant essentiellement de sang d'animaux. Mais il ne la rendait pas assez forte. Pourtant elle ne pouvait se résoudre à tuer des êtres humains. Un jour l'instinct fut le plus fort. Un voyageur isolé croisa sa route, trouvant ainsi la mort. A présent qu'elle avait franchi le grand pas, elle put se repaître du sang d'autres victimes. Au fur et à mesure qu'elle gagnait en force, elle apprit à se servir de ses nouveaux pouvoirs. De ses sens plus aiguisés, de sa force plus développée. Elle assimila des notions de survie et de traque. Bientôt elle fut prête.
Chapitre quatre : l'Ombre rouge
Une nuit elle se rapprocha de la plus grande ville du voisinage. Mettant à profit ce qu'elle avait apprit auprès de Farell, elle s'introduisit chez le couturier lui empruntant quelques vêtements et du tissu pourpre, puis chez le forgeron, le soulageant de deux dagues courbes. Puis elle repartit dans son refuge, une vieille ferme perdue dans les montagnes. Là elle s'équipa. Gwenaëlle Sylfaen de Bruissebois avait disparu. L'Ombre rouge venait de naître. Pendant près de deux ans elle parcourra les monts, attaquant les voyageurs, leur volant marchandises, or, et parfois sang. Elle gagna en renommée et vit bientôt apparaître des avis de recherche au nom qu'elle s'était forgé sur les murs des villes. Mais hélas la réputation est souvent une amie bien peu fidèle. Des chasseurs de primes firent peu à peu leur apparition espérant ajouter sa tête à leur carnet de chasse. Elle réussit à en défaire certains, mais d'autres avaient une réputation bien plus grande que la sienne encore fraîche. Un soir, elle quitta les montagnes.
Chapitre cinq : Ilya
Gwenaëlle a voyagé longtemps, et maintenant elle est arrivé à Ilya, la rayonnante capitale du monde d'Ilmer. Le chapitre cinq débute ici...
Caractère
Gwenaëlle est une jeune fille d'un naturel plutôt joyeux. Elle aime bien jouer des tours et prend la vie comme elle vient. Sur ce point elle fait preuve d'une faculté d'adaptation plutôt développée. Eprise de liberté, elle n'aime pas trop les contraintes. Les convenances lui pèsent et elle préfère se montrer naturelle. Gwenaëlle peut faire preuve d'un humour assez particulier voire quelque peu absurde. De par sa formation de saltimbanque, elle a le sens du spectacle et de la mise en scène. Si elle peut parfois faire preuve d'un certain manque de scrupules, elle n'est jamais cruelle. Les valeurs qu'elle défend sont l'indépendance et l'amitié.
Apparence.
Gwenaëlle avait dix sept ans au moment de sa transformation. Néanmoins elle peut paraître plus jeune d'une voire deux années. Elle est mince et c'est un poids plume. 1, 65 mètres pour 45 kilogrammes. Ses membres sont fins, sa silhouette gracile. Gwenaëlle porte les cheveux mi longs et ceux ci sont auburn. Sa peau est devenue plus pâle avec le vampirisme et ses yeux rouges. Déjà jolie avant sa transformation, le vampirisme a encore adoucit ses traits et accru sa beauté. Elle porte un ensemble complexe de vêtements rouges et noirs qui lui on donné son surnom d'Ombre rouge. Celui se compose d'un corset de cuir noir sans manches. Par dessus celui ci elle porte un chaperon de couleur pourpre lui arrivant en dessous de la poitrine. La capuche qu'il comporte est utile pour dissimuler son visage, soit aux regards des autres, soit à la lumière du soleil. Sur ses bras des mitaines en soie qui remontent jusqu'aux aisselles. En bas elle porte une jupe noire plutôt courte ( elle lui arrive au dessus des genoux ) ainsi que des collants et des bottes noires. Par dessus cette ensemble, elle porte deux pans de tunique pourpre fixés à sa ceinture qui descendent peu en dessous de ses genoux.
En combat Gwenaëlle compte plus sur son agilité que sur sa force. Même si le vampirisme a accru celle ci et qu'elle est plus robuste qu'un humain normal, elle reste moins puissante que la plupart des vampires. En revanche du fait de son passé de saltimbanque elle peut effectuer toute sortes d'acrobaties et est très mobile. Elle combat en utilisant deux dagues incurvées ou à mains nues. Outres ces deux armes, elle a sur elle un assortiment de cinq fioles lui servant à transporter du sang et à se nourrir en cas de besoin, et un avis de recherche à son nom.
Race : vampire
Clan : les Nocturnes
Hiérarchie : Brigand
Pouvoir : hypnose niveau un
Armes deux dagues courbes.
Prénom : Gwenaëlle
Age : dix sept ans
Histoire de Gwenaëlle Sylfaen de Bruissebois
Comment peut on naître riche héritière d'une famille noble de province, devenir saltimbanque puis vampire pour ensuite finir brigand ? Certaines personnes ont une vie tout ce qu'il y a de plus ordinaires, héritent d'un lopin de terre qu'ils cultivent le long de leur existence entouré d'une épouse et d'une ribambelle d'enfants avant de mourir tranquillement une fois leur heure venue dans un lit. D'autre... D'autre ont une vie bien plus agitée ou remplie c'est selon les points de vue, marquée par les vicissitudes du destin. Telle fut la vie de Gwenaëlle.
Chapitre un : La vie de château
Gwenaëlle Sylfaen de Bruissebois de son vrai nom est née dans une famille appartenant à la noblesse de province d'un lignage assez élevé parmi l'aristocratie mais aujourd'hui un peu déclinante hélas. Son enfance fut dans l'ensemble plutôt heureuse. Lorsqu'elle atteignit les dix ans, elle commença à recevoir une éducation digne de son rang. Ainsi elle apprit de nombreuses choses comme quelques vagues notions d'escrime, l'équitation, et d'autre, beaucoup moins passionnantes comme les convenances, comment se conduire en public ( public étant ici à comprendre ici comme un élégant salon rempli de vieux aristocrates guettant le moindre battement de cil de travers ) et les différends degrés de noblesse, ou comme elle l'appelait plus simplement, le pédigré.
Gwenaëlle ne se plaignait pas de sa situation. Elle avait pour elle le confort matériel. Cependant, elle devait bien avouer qu'elle ne se sentait pas faite pour cette vie. Ce monde lui semblait trop artificiel, trop futile. Plus les années passaient, plus elle s'en lassait. Quand le soir tombait, elle rêvait, assise près de sa fenêtre. Elle rêvait d'horizons lointains, d'aventure et d'amitié. Elle s'imaginait assise autour d'un feu de camp riant avec des compagnons, se racontant des histoires sous la Lune. Elle marchait à présent sur ses seize ans, et son père songeait à la marier, profitant de cette occasion pour redorer par une alliance le blason un peu usé de sa vieille famille. Mais Gwenaëlle n'avait aucune envie d'épouser un petit nobliau rondouillard enlaidi par des mariages incestueux. Aussi elle désespérait de trouver un moyen d'échapper à cette union.
Le moyen lui fut offert alors qu'elle rentrait d'une visite chez l'un de ses prétendants. La calèche avançait secouée par les cailloux de la route. Elle était accompagnée de trois servantes et de sa gouvernante, une vieille femme avec des traits chevalins et un manche à balai dans le...
Tandis qu'ils traversaient la forêt, l'attelage se stoppa brusquement puis il y eu un bruit sourd. Par la fenêtre Gwenaëlle vit le cocher tomber au sol le ventre percé d'une flèche. Sortirent alors des arbres cinq brigands vêtus de vert et de noir, portant des arcs et des épées. Ils s'avancèrent, ouvrirent la porte, firent sortir gouvernante et servantes, et sans plus de cérémonie les égorgèrent. Celui qui semblait être le chef aperçu alors Gwenaëlle terrée au fond de la calèche. Il la saisit par le bras et sans ménagement le fit sortir à son tour. Puis s'arrêtant, l'examina sous toutes les coutures.
_ "On la tue aussi chef ?" fit l'un des acolyte.
_ "Non" répondit celui ci "Ses parents me donneront peut être une rançon. Et au pire elle est jolie comme tout, elle fera une bonne esclave. Amène moi une corde et un tissu".
Gwenaëlle frissonna en entendant ces mots. Mais au moins, il n'avait pas l'intention de la tuer. Prenant une corde, le chef entreprit de la ligoter, lui attachant les mains dans le dos puis les cuisses et le pieds jusqu'à ce qu'elle soit aussi ficelée qu'un saucisson campagnard. Puis prenant un foulard la bâillonna avant de la jeter comme un sac de patates sur un cheval et le groupe se remit en marche s'enfonçant dans la forêt. Après quelques minutes de marches ils arrivèrent dans une clairière et se stoppèrent. Gwenaëlle releva la tête pour voir ce qui avait causé cet arrêt soudain. Au centre d'une clairière se trouvait un jeune homme. Assis sur un rocher il lisait tranquillement. A côté de lui se trouvaient ses affaires lesquelles comprenaient une besace brune, un luth et un bâton de bois. Les voyant arriver il releva la tête et le regarda. Il avait des yeux d'un bleu très clair, presque gris et un beau visage, jeune et régulier encadré par des cheveux bruns. La réaction des bandits ne se fit pas attendre.
_ "Hé toi !" tonna le chef "Laisse toute tes affaires ici et fiche le camp si tu tiens à la vie !"
_ "Vraiment ?" répondit l'autre avec un sourire énigmatique "Venez donc les chercher dans ce cas".
Gwenaëlle avait déjà eu sa dose de morts pour la journée et elle n'avait aucune envie d'en voir de nouveaux. Le jeune homme était seul avec pour seule arme un simple bâton face à quatre brigands portant des épées. Elle voulu lui crier de s'enfuir mais elle ne pu que pousser un faible gémissement sous son bâillon. Le premier maraudeur fonça sur le jeune homme mais celui ci ne se laissa pas décontenancer, et saisissant son bâton comme une épée lui assena un redoutable coup à la tête. Le bandit s'effondra. Les quatre autres restèrent un instant bouche-bée devant l'inconnu qui leur souriait et le corps de leur comparse gisant à terre puis...
_ "Choppez le !" hurla le chef se ruant avec les autres sur lui. Gwenaëlle ferma les yeux ne voulant pas voir ça. Il y eut une succession de coups de gémissement et de râles ponctué par le bruit sourd de corps chutant sur le sol puis plus rien. Rouvrant les yeux elle vit alors le jeune homme debout entouré par les vaincus à terre son bâton toujours à la main et sans la moindre égratignure. Il s'avança vers elle en souriant et prenant la bride du cheval l'emmena plus loin dans la forêt. Lorsqu'ils furent suffisamment loin, il la fit descendre doucement de sa monture, lui retira le bâillon puis tirant une dague de sa ceinture coupa les cordes qui l'entravaient.
_ "Merci" souffla elle en massant ses membres endoloris.
_ "Je m'appelle Farell" répondit il, "Eden Farell. Et toi ?"
_ "Euh, Gwenaëlle. Gwenaëlle Sylfaen de Bruissebois".
_ "Eh bien, aucune chance pour que j'arrive à retenir un nom aussi long. Je peux t'appeler Gwen ?"
"Gwen" hocha la tête en signe d'approbation.
_"Bien" reprit il "Je devrais peut être te reconduire jusqu'à ta famille"
_ "Non !"
_"Euh, pardon ?"
_ "Non je ne veux pas retourner là bas" dit elle, "Je vous en pris permettez moi de rester avec vous"
Elle cru qu'il allait refuser, attiré par la récompense que ne manquerait pas de lui offrir un noble si il lui ramenait sa fille saine et sauve mais il se contenta de la fixer de ses yeux pâles. Son regard était si perçant qu'elle avait l'impression qu'il lisait en elle. Finalement il dit :
_"Bon, entendu".
Chapitre deux : Par monts et par vaux
Sa nouvelle vie débuta alors. Farell était un saltimbanque. Il avait une multitude de talents. Il connaissait un très grand nombre d'histoires de contes et légendes, jouait très bien du luth et de la flûte, pouvait exercer une multitude de tour de passe passe et de numéro d'adresse, savait jongler avec balles et torches. De plus il maniait le bâton et la dague avec une efficacité meurtrière, pouvait crocheter les serrures parfois très complexes et soulager habilement un passant de sa bourse. C'était un fin négociateur en plus d'un bon cuisinier et d'un excellent danseur. Enfin pour ne rien gâcher, il était beau garçon. Gwenaëlle passa une année entière avec lui qui restera dans sa mémoire comme l'année la plus heureuse de sa vie. Ils voyagèrent beaucoup et elle découvrit le monde d'Ilmer, les autres races qu'elle n'avait pratiquement jamais cotoyé. Farell entreprit de lui transmettre une partie de son savoir. La chose ne fut d'abord pas aisée. Ayant toujours eu des serviteurs pour faire les choses à sa place, Gwenaëlle était extremement maladroite. Mais en persévérant, elle parvint à jongler à deux, puis trois, puis quatre, puis cinq balles. Elle apprit à manier la dague et effectuer des acrobaties, et faire des tours de prestidigitateur. Enfin elle acquis une chose non négligeable qui n'avait jusqu'alors pas eue la possibilité de s'exprimer : le sens de l'humour. Elle apprit à quitter les manières qu'on lui avait inculqué pour se laisser aller, bercée par le sourire de Farell. En symbole de sa nouvelle vie, elle coupa ses cheveux auburn pour les porter mi longs. Mais déjà cette vie touchait à sa fin.
Chapitre trois : La voie du sang
Depuis plusieurs jours ils marchaient dans les montagnes. Ils devaient franchir un col pour rejoindre une autre ville. La neige recouvrait les monts et vallées. Les villages fait de pierres et de bois étaient devenus de moins en moins nombreux au fur et à mesure qu'ils progressaient sur les sentiers de montagnes entre la neige et les sapins. A présent ils avançaient sur un sentier de montagne bordé de sapins. C'était le crépuscule, Gwenaëlle s'arrêta un instant.
_ "Quelque chose ne vas pas ?" demanda Farell ?
_ "J'ai entendu dire que les montagnes étaient envahies par les fantômes à la tombée de la nuit" répondit elle. Farell eut un sourire amusé.
_ "Ma foi, c'est peut être vrai" dit il "Les montagnes nourirssent l'imagination des gens. Mais si tu veux mon avis c'est surtout le vent du soir qui s'engouffre entre les vallées que les habitants prennent pour des gémissements fantomatiques".
Ils reprirent leurs route. Mais entre les arbres, à l'abri des regards et de la lumière, le prédateur les observait. Tant de jours d'errance, de solitude et de faim. Il ne pouvait résister il allait enfin pouvoir se nourrir. Gwenaëlle continuait de suivre Farell. Elle regarda sur la droite. Un trou dans les arbres et une falaise en plusieurs dénivelés. En bas elle pouvait apercevoir les lueurs du dernier village. Un craquement la fit alors sursauter. En face d'eux un homme vêtu d'un manteau noir en lambeaux se tenait debout sur une branche. Il sauta alors et se receptiona sur le sol malgré la hauteur et fonça sur eux. Farell brandit son bâton et frappa de toute ses forces la tête de son assaillant. Le bâton se brisa sous le choc. Il devait avoir le crâne brisé mais il tomba au sol semblant à peine sonné. Il se releva et avec une force prodigieuse, saisi Farell au col et l'envoya six mètres plus loin. Il se tourna alors vers Gwenaëlle et, crocs dehors lui sauta à la gorge. Elle n'eut que le temps d'esquiver en se déplaçant sur le côté mais les crocs se refermèrent sur son bras. Gwenaëlle hurla de douleur. Les crocs raffermirent leur emprise. Elle tenta de repousser son attaquant mais elle se sentait engourdie. Farell contre attaqua alors. Il sortit sa dague et la planta de toute ses forces dans le dos de l'inconnu. Ce n'est qu'au cinquième coup de dague qu'il relâcha sa morsure. Gwenaëlle tomba au sol. Les sons, les odeurs les sensations tout devint confus. Elle s'effondra submergé par une douleur plus intense que tout ce qu'elle avait pu ressentir jusqu'à présent, une douleur qui n'avait rien à voir avec celle qui lui lacérait le bras. Comme si son sang était devenu du feu et qu'il la consumait de l'intérieur. Ses sens s'atténuaient en même temps qu'elle sentait un mal terrible aux dents. Elle porta la main à sa bouche et sentit alors sous son toucher non plus des canines mais des crocs. Sa vision était flou mais elle vit une forme noire foncer sur elle et se stopper net. Sa vue s'éclaircit et elle vit Farell lui tournant le dos. Il avait ramassé le bâton brisé et enfoncé le pieux dans le coeur de l'ennemi. Celui ci écarquilla les yeux de stupeur, puis lorsque Farell le relâcha recula de quelques pas avant de tomber du haut de la falaise. Farell épuisé tomba alors sur le dos. Gwenaëlle était agenouillée devant lui. Elle sentit alors une soif de sang terrible monter du fond de ses entrailles et le désir de mordre l'homme en face d'elle. Cette pulsion plus forte que tout rencontra une barrière de sentiments contraires. Elle se mit à trembler et finalement, enfonça ses crocs jusqu'au sang dans son bras. Puis elle s'évanouit.
A son réveil c'était le matin. Elle était à moitié couverte de neige, allongée sur le ventre de Farell qui se soulevait doucement au rythme de sa respiration. Les premiers rayons du soleil commençaient à percer à travers les monts. Elle se releva doucement. La lumière qui aurait du la réchauffer l'affaiblissait. Par ailleurs elle ne sentait plus le froid, tout cela était si étrange. Elle ne pouvait supporter plus longtemps la lueur du soleil lorsque Farell se relevant à son tour la couvrit de son manteau avant de l'amener à l'ombre des sapins. Ils restèrent longuement face à face sans oser parler, même Farell d'ordinaire si loquace. Gwenaëlle finit par prendre la parole.
_ "Nous ne pourrons plus voyager ensemble" dit elle. Comme il ne répondait rien, elle poursuivit.
_ "Je crains le soleil désormais. Et surtout, je ne suis pas sûre de pouvoir résister à l'envie de te mordre".
_ "Tu pourrais me mordre justement" répondit Farell "Nous serions semblables". Elle eut un faible sourire.
_ "Il n'y a que les imbéciles pour penser que vampire est une existence enviable. Les choses ont basculées. Tu es le jour, je suis devenu la nuit".
_ "Alors" fit il "C'est notre dernière étreinte".
Gwenaëlle resta dans la montagne à errer. Elle n'aurait su dire pendant combien de temps, sa vision du temps avait changée elle aussi. Des semaines durant elle rôda dans les monts et forêt. Il n'y avait plus que le froid, la neige, la nuit et cette soif, cette soif insatiable de sang. Des semaines à craindre l'aurore et espérer le crépuscule. Des semaines hantées par le souvenir de Farell à qui elle avait tourné le dos. Le soir tombait, toute la journée durant des nuages avaient obscurci le ciel lui permettant de s'approcher suffisamment près d'un village. à l'orée des arbres elle observait une maison éloignée. Un petit garçon jouait non loin de sa porte. Il devait à peine avoir cinq ans. Ce serait si facile. Il n'aurait à peine le temps de crier que déjà ils seraient loin. Sa faim la tenaillait, un tremblement la secoua. Après plusieurs seconde d'hésitation elle se ravisa. Prendre la vie d'un enfant était au dessus de ses forces. Elle retourna dans la montagne. Gwenaëlle vécu plusieurs mois dans les monts enneigés, se nourrissant essentiellement de sang d'animaux. Mais il ne la rendait pas assez forte. Pourtant elle ne pouvait se résoudre à tuer des êtres humains. Un jour l'instinct fut le plus fort. Un voyageur isolé croisa sa route, trouvant ainsi la mort. A présent qu'elle avait franchi le grand pas, elle put se repaître du sang d'autres victimes. Au fur et à mesure qu'elle gagnait en force, elle apprit à se servir de ses nouveaux pouvoirs. De ses sens plus aiguisés, de sa force plus développée. Elle assimila des notions de survie et de traque. Bientôt elle fut prête.
Chapitre quatre : l'Ombre rouge
Une nuit elle se rapprocha de la plus grande ville du voisinage. Mettant à profit ce qu'elle avait apprit auprès de Farell, elle s'introduisit chez le couturier lui empruntant quelques vêtements et du tissu pourpre, puis chez le forgeron, le soulageant de deux dagues courbes. Puis elle repartit dans son refuge, une vieille ferme perdue dans les montagnes. Là elle s'équipa. Gwenaëlle Sylfaen de Bruissebois avait disparu. L'Ombre rouge venait de naître. Pendant près de deux ans elle parcourra les monts, attaquant les voyageurs, leur volant marchandises, or, et parfois sang. Elle gagna en renommée et vit bientôt apparaître des avis de recherche au nom qu'elle s'était forgé sur les murs des villes. Mais hélas la réputation est souvent une amie bien peu fidèle. Des chasseurs de primes firent peu à peu leur apparition espérant ajouter sa tête à leur carnet de chasse. Elle réussit à en défaire certains, mais d'autres avaient une réputation bien plus grande que la sienne encore fraîche. Un soir, elle quitta les montagnes.
Chapitre cinq : Ilya
Gwenaëlle a voyagé longtemps, et maintenant elle est arrivé à Ilya, la rayonnante capitale du monde d'Ilmer. Le chapitre cinq débute ici...
Caractère
Gwenaëlle est une jeune fille d'un naturel plutôt joyeux. Elle aime bien jouer des tours et prend la vie comme elle vient. Sur ce point elle fait preuve d'une faculté d'adaptation plutôt développée. Eprise de liberté, elle n'aime pas trop les contraintes. Les convenances lui pèsent et elle préfère se montrer naturelle. Gwenaëlle peut faire preuve d'un humour assez particulier voire quelque peu absurde. De par sa formation de saltimbanque, elle a le sens du spectacle et de la mise en scène. Si elle peut parfois faire preuve d'un certain manque de scrupules, elle n'est jamais cruelle. Les valeurs qu'elle défend sont l'indépendance et l'amitié.
Apparence.
Gwenaëlle avait dix sept ans au moment de sa transformation. Néanmoins elle peut paraître plus jeune d'une voire deux années. Elle est mince et c'est un poids plume. 1, 65 mètres pour 45 kilogrammes. Ses membres sont fins, sa silhouette gracile. Gwenaëlle porte les cheveux mi longs et ceux ci sont auburn. Sa peau est devenue plus pâle avec le vampirisme et ses yeux rouges. Déjà jolie avant sa transformation, le vampirisme a encore adoucit ses traits et accru sa beauté. Elle porte un ensemble complexe de vêtements rouges et noirs qui lui on donné son surnom d'Ombre rouge. Celui se compose d'un corset de cuir noir sans manches. Par dessus celui ci elle porte un chaperon de couleur pourpre lui arrivant en dessous de la poitrine. La capuche qu'il comporte est utile pour dissimuler son visage, soit aux regards des autres, soit à la lumière du soleil. Sur ses bras des mitaines en soie qui remontent jusqu'aux aisselles. En bas elle porte une jupe noire plutôt courte ( elle lui arrive au dessus des genoux ) ainsi que des collants et des bottes noires. Par dessus cette ensemble, elle porte deux pans de tunique pourpre fixés à sa ceinture qui descendent peu en dessous de ses genoux.
En combat Gwenaëlle compte plus sur son agilité que sur sa force. Même si le vampirisme a accru celle ci et qu'elle est plus robuste qu'un humain normal, elle reste moins puissante que la plupart des vampires. En revanche du fait de son passé de saltimbanque elle peut effectuer toute sortes d'acrobaties et est très mobile. Elle combat en utilisant deux dagues incurvées ou à mains nues. Outres ces deux armes, elle a sur elle un assortiment de cinq fioles lui servant à transporter du sang et à se nourrir en cas de besoin, et un avis de recherche à son nom.
Race : vampire
Clan : les Nocturnes
Hiérarchie : Brigand
Pouvoir : hypnose niveau un
Armes deux dagues courbes.
Gwenaëlle- niveau 1
- Messages : 14
Date d'inscription : 25/02/2011
Feuille de personnage
Race: Vampire
Rang dans la Société: Brigand
Commentaire:
Re: Présentation de Gwenaëlle
Bon c'est en ordre normalement
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Je te met tout, par contre avatar obligatoire pour rp.
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Eira- Admin
- Messages : 63
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Rang dans la Société: Esprit Indépendant
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