Et bond et bond petit patapon... [rp Erylith]
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Et bond et bond petit patapon... [rp Erylith]
Le prédateur et la proie...
La proie et le prédateur...
La proie est alerte et effrayée... Le prédateur est discret et affamé...
D'un pas de velours, il s'avance... Il se rapproche de plus en plus de sa proie...
Aux aguets, celle ci ne se doute pourtant de rien... Elle ne connais pas le destin fatal qui est le sien...
Car c'est sa mort qui s'approche d'elle avec l'agilité d'un félin...
Le prédateur s'arrête à quelques mètres de sa proie, les muscles aussi tendus qu'un ressort. Il attend... attend... encore un peu... juste un peu...
Tout à coup, il relâche tout ses muscles et bondit en avant, rapide comme une flèche. La proie n'a aucune chance, et le coup que lui assène le prédateur la met immédiatement au tapis. Le prédateur se jette alors sur elle et l'achève d'un coup de dents impitoyable. Puis il se relève fièrement, sa prise entre les dents, un sourire béat sur les lèvres.
« Che ai eut!! » s'écria Akin en resserant les dents sur le poisson qui pendait de sa bouche.
Fillan s'approcha tranquillement de lui et s'assit en lui lançant un regard las.
« Tu sais Akin, je ne penses pas que ça soit nécessaire de faire toute cette mise en scène pour prendre un poisson pêché de ce matin... S'il avait été vivant encore je dis pas mais là... »
« Oh cha va hein, gâche pas le plaijir de la chache. » articula difficilement le garou.
Il posa par terre le poisson, qu'il avait pêché quelques heures plus tôt et avait gardé en réserve, et le renifla avec un visage ravi, se régalant de l'odeur alléchante.
Fillan vint à son tour sentir la prise.
« Il n'est pas très gros, on aura sûrement faim ce soir. » lança t'il.
« Pas grave, j'irai en prendre un autre au marché. » répondit Akin en haussant les épaules.
« … En prendre un ou en voler un? » demanda Fillan, méfiant.
« Y a une différence? » répondit le garou avec surprise.
« ... »
Les deux comparses se partagèrent le poisson et chacun dévora sa partie avec appétit. Akin finit d'avaler la sienne, et se rendit compte qu'il avait encore très faim, ses trois derniers jours n'avait pas été très riches en prises, et il avait du se contenter de maigres repas. Il soupira.
« Si on revoyait Eira on pourrait lui demander un coup de main pour voler de la nourriture, elle prononce son mot magique là... heu... ah oui! « bouh! » et tout les marchands s'en vont, et hop! On prend le poisson! » dit-il avec un autre soupir.
« Si tu veux mon avis voler plus de nourriture n'est pas une très bonne idée, tu t'es déjà assez fait remarqué dans cette ville. répliqua Fillan, un air sévère sur son visage félin. D'ailleurs quand est ce que tu comptes repartir? »
Akin ne répondit pas tout de suite et se perdit un moment dans la contemplation du mur d'une riche villa qui se situait devant le bâtiment auquel il était adossé. Avec Fillan ils s'étaient installés une rue déserte du quartier des Justes pour y manger tranquillement après une matinée à vagabonder un peu partout dans la ville à la recherche de nouvelles choses à découvrir, ou de nouveau jeux à essayer. Leur pas les avaient finalement conduit devant cette grande villa qui devait sûrement appartenir à un riche elfe comme l'avait suggéré Fillan.
Akin se gratta la tête d'un mouvement félin. Il ne comprenait pas trop comment on pouvait habiter dans une telle bâtisse, enfermé entre quatre murs qui imitaient mal par leur largeur la grandeur du monde extérieur. Le garou lui préférait courir à l'air libre, pour lui c'était le monde entier sa maison.
Et puis la villa face à lui était moche, son mur était froid et vide. Akin aurait préféré qu'il soit envahit par du lierre, ca aurait été plus gai.
« Eh Fillan! T'as vu? On dirait que la girouette sur le toit a été arrachée! C'est bizarre comme idée d'arracher une girouette! »
« Ne change pas de sujet! Tu ne m'as toujours pas dit quand on partirais d'ici. »
Akin haussa les épaules. Il n'aimait pas choisir d'emplois du temps précis, pour lui la vie se prenait comme elle venait. Il finirait par partir de la ville c'était certain, mais quand il le déciderait.
Baillant un grand coup, il se releva et s'apprêta à repartir pour aller faire la sieste sur le toit d'une maison lorsqu'une silhouette inconnue attira son regard.
Une personne qu'il distinguait mal de loin avançait d'un pas léger et gracieux au milieu d'une rue qui croisait la leur. Ne s'attendant pas à voir quelqu'un dans cette endroit peu occupée, Akin sentit tout de suite sa curiosité piquée au vif. Il renifla l'air mais l'odeur qui lui parvint lui était inconnu, ce qui ne fit que renforcer son intérêt.
« On ferait mieux de partir, on est pas sûr que notre présence soit vraiment tolérée ici. »
Mais son ami ne l'écoutait plus. Un sourire joyeux, qui accompagne les catastrophes, s'étira sur son visage.
« Bon allons... Akin!! Qu'est ce que tu fais?! »
Mais il était trop tard, le garou s'élançait sur le mur à coté de lui et l'escaladait à toute allure avec une agilité déconcertante.
Arrivé sur le toit, il suivit la silhouette en sautant de bâtiment en bâtiment. Puis lorsqu'il fut assez près, il s'élança du toit... et atterrit en position féline juste devant l'inconnu, le faisant sursauter.
« Salut! Je m'appelle Akin! Et je suis ravi de te connaître! » lança t-il avec un sourire enfantin sur le visage, sans quitter sa position accroupie.
La proie et le prédateur...
La proie est alerte et effrayée... Le prédateur est discret et affamé...
D'un pas de velours, il s'avance... Il se rapproche de plus en plus de sa proie...
Aux aguets, celle ci ne se doute pourtant de rien... Elle ne connais pas le destin fatal qui est le sien...
Car c'est sa mort qui s'approche d'elle avec l'agilité d'un félin...
Le prédateur s'arrête à quelques mètres de sa proie, les muscles aussi tendus qu'un ressort. Il attend... attend... encore un peu... juste un peu...
Tout à coup, il relâche tout ses muscles et bondit en avant, rapide comme une flèche. La proie n'a aucune chance, et le coup que lui assène le prédateur la met immédiatement au tapis. Le prédateur se jette alors sur elle et l'achève d'un coup de dents impitoyable. Puis il se relève fièrement, sa prise entre les dents, un sourire béat sur les lèvres.
« Che ai eut!! » s'écria Akin en resserant les dents sur le poisson qui pendait de sa bouche.
Fillan s'approcha tranquillement de lui et s'assit en lui lançant un regard las.
« Tu sais Akin, je ne penses pas que ça soit nécessaire de faire toute cette mise en scène pour prendre un poisson pêché de ce matin... S'il avait été vivant encore je dis pas mais là... »
« Oh cha va hein, gâche pas le plaijir de la chache. » articula difficilement le garou.
Il posa par terre le poisson, qu'il avait pêché quelques heures plus tôt et avait gardé en réserve, et le renifla avec un visage ravi, se régalant de l'odeur alléchante.
Fillan vint à son tour sentir la prise.
« Il n'est pas très gros, on aura sûrement faim ce soir. » lança t'il.
« Pas grave, j'irai en prendre un autre au marché. » répondit Akin en haussant les épaules.
« … En prendre un ou en voler un? » demanda Fillan, méfiant.
« Y a une différence? » répondit le garou avec surprise.
« ... »
Les deux comparses se partagèrent le poisson et chacun dévora sa partie avec appétit. Akin finit d'avaler la sienne, et se rendit compte qu'il avait encore très faim, ses trois derniers jours n'avait pas été très riches en prises, et il avait du se contenter de maigres repas. Il soupira.
« Si on revoyait Eira on pourrait lui demander un coup de main pour voler de la nourriture, elle prononce son mot magique là... heu... ah oui! « bouh! » et tout les marchands s'en vont, et hop! On prend le poisson! » dit-il avec un autre soupir.
« Si tu veux mon avis voler plus de nourriture n'est pas une très bonne idée, tu t'es déjà assez fait remarqué dans cette ville. répliqua Fillan, un air sévère sur son visage félin. D'ailleurs quand est ce que tu comptes repartir? »
Akin ne répondit pas tout de suite et se perdit un moment dans la contemplation du mur d'une riche villa qui se situait devant le bâtiment auquel il était adossé. Avec Fillan ils s'étaient installés une rue déserte du quartier des Justes pour y manger tranquillement après une matinée à vagabonder un peu partout dans la ville à la recherche de nouvelles choses à découvrir, ou de nouveau jeux à essayer. Leur pas les avaient finalement conduit devant cette grande villa qui devait sûrement appartenir à un riche elfe comme l'avait suggéré Fillan.
Akin se gratta la tête d'un mouvement félin. Il ne comprenait pas trop comment on pouvait habiter dans une telle bâtisse, enfermé entre quatre murs qui imitaient mal par leur largeur la grandeur du monde extérieur. Le garou lui préférait courir à l'air libre, pour lui c'était le monde entier sa maison.
Et puis la villa face à lui était moche, son mur était froid et vide. Akin aurait préféré qu'il soit envahit par du lierre, ca aurait été plus gai.
« Eh Fillan! T'as vu? On dirait que la girouette sur le toit a été arrachée! C'est bizarre comme idée d'arracher une girouette! »
« Ne change pas de sujet! Tu ne m'as toujours pas dit quand on partirais d'ici. »
Akin haussa les épaules. Il n'aimait pas choisir d'emplois du temps précis, pour lui la vie se prenait comme elle venait. Il finirait par partir de la ville c'était certain, mais quand il le déciderait.
Baillant un grand coup, il se releva et s'apprêta à repartir pour aller faire la sieste sur le toit d'une maison lorsqu'une silhouette inconnue attira son regard.
Une personne qu'il distinguait mal de loin avançait d'un pas léger et gracieux au milieu d'une rue qui croisait la leur. Ne s'attendant pas à voir quelqu'un dans cette endroit peu occupée, Akin sentit tout de suite sa curiosité piquée au vif. Il renifla l'air mais l'odeur qui lui parvint lui était inconnu, ce qui ne fit que renforcer son intérêt.
« On ferait mieux de partir, on est pas sûr que notre présence soit vraiment tolérée ici. »
Mais son ami ne l'écoutait plus. Un sourire joyeux, qui accompagne les catastrophes, s'étira sur son visage.
« Bon allons... Akin!! Qu'est ce que tu fais?! »
Mais il était trop tard, le garou s'élançait sur le mur à coté de lui et l'escaladait à toute allure avec une agilité déconcertante.
Arrivé sur le toit, il suivit la silhouette en sautant de bâtiment en bâtiment. Puis lorsqu'il fut assez près, il s'élança du toit... et atterrit en position féline juste devant l'inconnu, le faisant sursauter.
« Salut! Je m'appelle Akin! Et je suis ravi de te connaître! » lança t-il avec un sourire enfantin sur le visage, sans quitter sa position accroupie.
Akin Terra- niveau 1
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